PASSION XM,
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Histoire d'un collector

XM Multimédia, l’histoire d’un collector.

Raconter cette histoire sans parler de ce qui s’est passé avant, ne permettrait pas de comprendre pourquoi et comment cette série très limitée a été mise sur le marché.

Alors, revenons aux sources, le projet de recherche Prometheus (1987-94) qui réunissait les constructeurs automobiles européens autour de 2 objectifs améliorer la sécurité et la fluidité du trafic. Tout ceci en s’appuyant sur les technologies de l’information : électronique et informatique. La XM ALTO constitue pour PSA le démonstrateur ultime tel qu'il avait été défini au moment de présenter le projet aux équipes ministérielles concernées, en vue de son financement.

Notre département avait le leadership du thème architecture électronique et représentait le groupe PSA Peugeot Citroën dans les domaines de l’interface homme machine, IHM pour les intimes, de la navigation embarquée et de l’information routière, trafic ou autre.

En parallèle, tous les deux ans, pour le salon de Paris, nous étions en charge de l’électronique embarquée des véhicules salon des deux marques. C’est ainsi que sont passés entre nos mains, Proxima en 1986, Activa et Oxya en 1988, Activa 2 en 1990, Ion et Xanae en 1994 et pour finir, j’ai personnellement participé à la conception du système multimédia de C Airlounge en 2003. Tiens une année impaire, marquant une présentation à Francfort plutôt qu’à Paris, et par conséquence une implication moins forte des équipes en interne. C’est vrai que depuis 1994, le démonstrateur technologique n’était plus trop d’actualité. Par contre, les concepts cars ont évolué vers la démonstration stylistique pure et simple, trônant au centre du stand comme des œuvres d’art. Les photos ci-dessous permettent de se remettre en mémoire ces voitures…

PROXIMA 1986

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ACTIVA 1988

activa_vig

 

OXYA 1988

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ACTIVA 2 1990

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XANAE 1994

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ION 1994

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Notre département, intégré à la direction de la carrosserie donc en charge des pré-études automobiles, n’aurait pas dû être impliqué dans Prometheus, mais (heureusement !) la direction de la recherche de l’époque n’a pas voulu s’investir et grâce à nos patrons de l’époque, nous avons finalement été impliqués dans ce projet européen qui nous a permis d’acquérir des compétences qui ont été indispensables ensuite quand il s’est agit de déployer les systèmes de navigation et des solutions d’interface homme machine innovantes.